Ils s’appellent Théo, Anoa, Solène, Emma, Romain et sont le reflet d’une société dans laquelle les difficultés financières s’aggravent. Certains subissent la précarité de leurs parents, d’autres sont issus de famille monoparentale, en rupture familiale ou déjà surendettés avec des crédits pour financer leur école. Etudiants en première année de grandes écoles, en licence ou le bac juste en poche, il leur reste souvent moins de 50 euros par mois pour subvenir à leurs besoins, une lourde charge mentale pour ces jeunes.
Jeudi 12 septembre – 22.30
GUADELOUPE LA 1e